Raid de l’Isard, entre Terre et Mer

 
 
 

Il y a quelques aventures qui vous restent en tête, celles qui vous font relativiser la petitesse de nos chaires en comparaison de l’immensité de ce qui nous entoure, transcendant le quotidien… Les Pyrénées Espagnoles par leur diversité en font partie, chaque jour est une couleur, un sentiment, une histoire différente, une immensité qui n’en finit pas d’un bout à l’autre jusqu’à s’effacer vers l’Océan.

Seul le temps nous manque pour apprécier correctement ces espaces, c’est à allure relativement soutenue que nous progressons le long des 1300kms et des 16’000m de dénivelé combinés qui nous séparent de Perpignan à Biarritz…

Au départ de Belgique avec Augustin et son Pajero 2 fraichement terminé après 3 week-end de travail à cette fameuse allure, nous emboîtons le pas un Vendredi soir pour amorcer la descente, l’occasion de se mettre en place, et de roder un peu notre organisation, ainsi découvrir par la même occasion nos Autohome Overzone respective…

C’est au détour d’un chemin vers Thionville que nous passerons notre première nuit, sans s’étaler pour ne pas perdre de temps le lendemain avec quelques 930kms restant… Il nous reste qu’à ranger au petit matin pour remboîter la bretelle de l’A31 et passer la 5ème pour descendre en direction l’Étang de Salses… C’est après une dizaines d’heures et le démontage de mon arbre de transmission qui avait la tremblote que nous arriverons sur place… Le temps de récupérer Clément, qui lui aussi fera partie de l’équipage, l’occasion de le briefer sur les jours qui nous attendent…

Une fois arrivé c’est une soirée assez improbable qui nous attend, le temps d’en profiter pour fêter mon 29ème anniversaire entourer de ma famille et d’amis, face à un étang lisse comme de l’huile avec quantités de reflets pour accompagner cette soirée… Puis c’est un petit déjeuner face à la Méditerranée qui nous attend, l’occasion de faire un peu de mécanique et de remonter ce fameux arbre de transmission avant, modifier deux trois éléments de confort pour enfin décoller en direction de chez Clément entre mer et étang pour récupérer le reste du matos…

Allez clefs dans les contacts et cap sur les Pyrénées avec une petite coupure de parcours en direction des Angles pour profiter de la fin de journée et se reposer de la veille… On arrivera vers 16h30 sur zone pour déplier le matériel, avec un petit souvenir de l’hiver dernier où la Jeep prenait pose au même endroit sous une épaisse couche de neige, l’occasion d’observer les différences entre la fin de l’été et l’hiver…

Tout est calme, seules quelques cloches de vaches viennent briser ce silence, tout est paisible, il est temps de profiter d’un apéro bien mérité qui donnera l’occasion de sortir la tonnelle d’Augustin, qui nous sauvera la majorité de nos bivouacs tant le temps fut compliqué en fin de journée… On profitera également de la qualité des tentes Autohome qui malgré une grosse pluie nous laissera totalement au sec et sans effet de flap, un vrai régal…

 
 

Le lendemain on se réveille entouré de vaches en transhumance, elles nous laisseront place pour profiter du café matinal avec de commencer à plier le camp, une fois les tentes (plus ou moins) sèches… Un petit coup d’oeil sur les niveaux après 1300kms passés, et le premier gros trajet du Pajero d’Augustin depuis la remise en route… On rajoutera une pointe d’huile histoire de…

On passe au 3ème jour, direction Formiguères, pour se diriger vers l’Espagne en direction de Puigcerda pour enfin se diriger vers le Pic Negre, ça promet d’être fameux, et on ne sera franchement pas déçu. Une bonne partie de la journée nous serons hors des sentiers battus, l’occasion d’admirer les paysage s’enchevêtrant les uns dans les autres, et d’observer une multitude de couleurs, et de matières. Avec pour seul rencontre un Range Rover passant par là, le reste nous serons seuls perdus à travers pistes… Les kilomètres s’enchainent, notre bonheur aussi, les cartes mémoires fondent comme neige au soleil, c’est un plaisir, vraiment…

Pour le Pic Negre ça s’est un peu compliqué, la piste initialement prévue a été fraichement barrée probablement dû à l’afflux touristique annuel, c’est donc un demi-tour forcé… C’est en redescendant au village que nous trouvons des locaux sur la placette centrale, qui nous proposent des itinéraires alternatifs pour récupérer le Pic, on note tout ce qui est possible de noter, et nous reprenons notre chemin, l’occasion de remplir les réservoirs d’eau et de carburant qui commencent à crier famine au village voisin…

Une fois redescendus sur la N-260 on tente une autre approche qui s’avérera également infructueuse à quelques centaines de mètres du massif, malheureusement le soleil commence a décliner… C’est le moment de faire le point, d’autant que le temps se gâte sérieusement et des orages costauds sont annoncés pour la nuit… On va devoir rester raisonnable et monter le campement sur un replat. La fatigue se fait sentir et des modifications du tracés sont à faire… On aura perdu une grosse demi-journée dans l’affaire, mais c’est les aléas du voyage, et le coin bivouac est sympa comme tout…

Les orages annoncés n’ont pas fait semblant, on s’est pris un bon paquet de flotte, la tonnelle a encore sauvé la soirée… La chance est avec nous au petit matin avec des éclaircies qui permettent de sécher les Overzone pour ne pas replier le matos détrempé… La Bialetti tourne à plein régime pendant qu’on range notre bivouac, aujourd’hui c’est sûr ce sera Pic Negre !

On se met en piste pour rebrousser chemin et prendre la piste à une autre intersection, on grimpe pendant une bonne heure et demi l’altimètre défile, quelques petites pauses pour rafraichir l’équipage et voir quelques copines…

 
 

Et là arrivé sur le haut du plateau c’est une vraie aire de jeu qui s’ouvrent à nous, avec une magnifique flaque bien rempli et les traces ne laissant aucun doute sur l’utilisation de cette petite baignoire… Et comme des enfants, ont ne peut résister à aller s’y jeter dedans…

L’occasion pour moi de voir que malgré mes AllTerrain mon Grand Cherokee se débrouille pas si mal sur du gras…

Allez il est temps de tracer la piste pour continuer notre ascension… Une fois l’enchevêtrement d’épingles passé, nous arrivons au Col de Pimés notre carrefour entre le Pic Negre et Andorre la Vieille, évidemment de nouveau une belle piscine, l’un d’entre nous y laissera sa calandre, et je vous donne un indice, ce n’est pas moi…

 
 

Comme toute bonne réparation qui se respecte, Augustin se munit d’un simple tournevis et de colsons et d’un paquet de bonne humeur, afin de réparer durablement cette calandre récalcitrante… Bon en vrai, ça a fonctionné nickel, à ce jour la calandre tient toujours…

Tant mieux, parce que de la piste accidentée on va en avoir pour un paquet de kilomètres encore…

 
 

Bon c’est pas tout, mais faudrait qu’on passe au Pic Negre depuis le temps que je vous en parle…

Après avoir regardé les divers Discovery, Defender, Ranger, Wrangler et compagnie, on s’engage maintenant dans la montée, et là ça grimpe, On monte lentement mais sûrement, on ne se rend pas bien compte, mais pour que ça rame en 1er courte il faut un sacré pourcentage… Le drone nous permettra de mieux nous rendre compte de l’angle de la pente, même si mal accès cela donne une idée… Plus que quelques kilomètres pour commencer à admirer l’immensité du Paysage…

DJI_0287.jpg

Un truc qu’on a remarqué depuis ces quelques jours de voyage, c’est la diversité de couleurs, et là c’est flagrant on aurait presque des visions d’Island avec un sol totalement noir, c’est déroutant, et captivant, toutes les couleurs ressortent de plus belle…

On sera resté plus ou moins 4h là haut, et on a vraiment eu du mal à en partir, c’était magnifique, on se sent petit, cela fait relativiser sur ce qui nous entoure. Un sentiment de réelle liberté est bien présent, mêlé à l’excitation du reste à découvrir… Il est temps de partir, et de descendre en direction d’Andorre avec des freins plus que bouillant une fois arrivés en bas… Pour ensuite remonter vers le Coll de Cabús et repasser côté Espagnol et il est surtout temps de penser à se stopper pour la journée…

Décision est prise de se poser juste après le col, avant le village de Tor, à côté d’un magnifique a-pic rocheux, le tout accompagné de vaches et chèvres et quelques chevaux en liberté… La tonnelle est de nouveau de sortie, la pluie nous accompagne et le vent aussi, quelques lestes seront mis autour pour éviter de la retrouver en contrebas… Bon il est temps maintenant de se restaurer et de se doucher… La journée a été pas mal mouvementée et pleine d’émotions…

Ah et tiens je vous le donne dans le mille encore une fois, on s’est encore pris une sacrée châtaigne cette nuit ci… Une pluie battante toute la nuit, et beaucoup de vent, au point de bien sentir les véhicules bouger, au début ça surprend… Et évidement comme d’hab’ le matin est doux et ensoleillé… Pile ce qui faut pour bien apprécier un café avec vue sur montagne… Ce lieu avait vraiment une atmosphère particuliere, on était acculé de toute part par les montagnes, les blocs de roches noirs  aux reflets rougis par les dépôts de fer provenant du ruissellement de l’eau cela donnait une dimension et une âme singulière à ce lieu.

Ah ben tiens, je vous le donne dans le mile, j’ai perdu ma plaque d’immatriculation avant… Donc demain ce sera mission recherche de plaque en Espagne, et c’est pas gagné…

En voiture, on redescend sur Tor pour rattraper un itinéraire routier dans le fond de valais, on enchaine les lacets en longeant la Noguera de Vallferrera jusqu’à Llavorsí, on a pas mal de trajet routier la matinée, jusqu’à Baqueira qui se situe dans le Val d’Aran. On a malheureusement coupé une partie du trajet du fait du calendrier qui défile, on est pas en avance sur ce dernier, et il n’est pas extensible malheureusement…

Ce trajet nous offre malgré tout une paysage à couper le souffle à chaque virage, chaque montagne donnant lieux à un plan différent. Force est de constater que de nouveau nous sommes bien peu de chose.

La fin de journée sera très roulante avec une bonne partie de piste…

On continuera encore notre trajet jusqu’à Aneto la fatigue nous prend et on se trouve sur une section très routière, ne trouvant pas de bivouac digne de ce nom on se posera dans un abord de champs au dessus d’une rivière, pas de vue majestueuse ouverte, mais un fond de vallée bercé par le bruit de la rivière, et un temps clément qui nous permettra une petite liberté d’une soirée sans tonnelle malgré tout… Avec une douche chaude et une belle nuit de sommeil, demain promet d’avoir un bivouac grandiose, le plus impressionnant de la semaine…

Le matin, la cinématique de rangement commence à être vraiment bien rodé, tout se goupille bien… Nous voila maintenant repartis sur la route, en alternance entre piste et goudron, village et nature… On va en direction plein Est vers Broto pour se préparer au prochain spot, quelques petites pauses, remplissage du carburant, de notre eau potable et de douche, mais également de refaire ma plaque d’immatriculation, et là ça coince, car personne en Espagne ne veut ou peut faire des plaques Françaises, donc j’ai pas le choix que de bricoler une plaque avec un plexi et du scotch ce qui me vaudra un magnifique PV de 135€ lors de la remontée vers la Belgique le Dimanche…

Bon avec tout ça on continue à manger des kilomètres et d’avancer sur l’itinéraire, ça va pas se faire tout seul hein…

 
 

On commence maintenant à monter de nouveau en altitude pour terminer par emprunter des remontées de piste, après avoir croisé un premier lac, on continue pour monter encore plus haut, là les paysages deviennent grandioses. On passe passe tout juste les 1900m pour se retrouver en bas de deux pics à 2300m et 2750m d’altitude, on se sent tout petit, la lumière dessine les montagnes, et vu la météo clémente, on se dit que le coucher de soleil va être optimal, tout ça face à un lac rempli de couleur, l’origine glacière ajoute un bleu caractéristique…

Un calme caractéristique des zones montagneuses nous entoure ce qui accroit encore plus ce sentiment de petitesse face aux éléments, nous sommes insignifiants et simplement de passage, on est forcé de rester humble face à de tels spots… On profite de cette fin d’aprem pour s’installer de manière optimum pour profiter de cet espace…

Le soleil commence sérieusement à décliner, puis à passer derrière les massifs, on veillera un moment malgré le froid, ici peu de pollution lumineuse, on profite de ces condition pour shooter un peu, même si la date n’est pas idéale avec une lune bien présente… Petit regret quand on voit la magnificence du spot.

Malgré tout Clément arrivera à tirer partie du spot, et en traduire l’essence, et sa simplicité, sa magnificence…

La chose qu’on regrettera tout au long de ce petit périple est le manque de temps pour profiter de l’environnement qui nous entoure, les 8 jours paraissent courts, et nous aurions bien passé une nuit de plus dans un ou deux spot pour profiter des rando’ présentent aux alentours… Le temps passe toujours trop vite dans des endroits pareils, ce sera peut être l’occasion de le refaire un de ces jours de manière plus poussée…

Qui sait…

Quoiqu’il en soit, on doit repartir et continuer notre route qui deviendra maintenant essentiellement routière, serpentant à travers les montagnes en direction des dernières nuits coté espagnole…

On replie donc notre campement et partons plein d’étoiles dans les yeux, direction Jaca pour refaire un plein nourriture et carburant…

On se met en route maintenant pour aller découvrir la Gare de Canfranc, une gare aux dimensions phénoménales, aussi grande que la gare parisienne de Saint Lazare, mais situéd à 1200m d’altitude. Cette gare fut mise en service en 1928, et dont les travaux furent commencés en 1922… Elle n'eut jamais le succès escompté et tomba en désuétude, jusqu’à sa rénovation… Malheureusement on sera super déçus pour le côté photo, c’est un lieu assez touristique, et pas grand chose n’est visible actuellement avec la rénovation en court… Peut-être que cela ne valait pas le détour, on vous laissera en juger par vous même si l’occasion se présente à vous…

Il est temps maintenant de redescendre en direction de notre prochain spot, par une alternance de piste et section routière, vers Hecho.

C’est vers 16h que nous arriverons au prochain spot, après une longue route serpentant au fond des gorges longeant la Río Aragón Subordán, quelques Van sont présent également avec pas mal de nationalité, l’occasion de discuter avec les propriétaires, une petite après midi sympa en bord de rivière, on profite de nos derniers instants avant le retour à la civilisation le lendemain…

La nuit elle sera pluvieuse avec des grosses averses (de nouveau)…

Au petit matin on se réveille dans la brume, l’occasion de shooter un magnifique Transporteur de troisième génération arrivé au cour de la nuit…

 
 

C’est dans cette ambiance particulière que nous reprenons la route après un café sous la pluie au camping croisé un peu plus en aval… L’itinéraire initial est maintenant terminé, Waze reprend du service avec comme direction Biarritz, aujourd’hui ce sera pluie en entrée, en plat et en dessert, tout au long de notre trajet on se prendra des trombes d’eau…

C’est au détour de quelques virages que nous découvrons l’Embalse de Yesa, une retenue d’eau à 490m d’altitude… Les couleurs y sont magnifiques, une alternance de bleu, de noir, avec une vue dégagée

De nombreux Van sont installés, quelques pécheurs et la pluie ne les a pas aidés, pas mal sont bloqués par la glaise et quelques locaux usent de leur sangles pour les sortir… On décide de descendre pour prendre quelques clichés, malheureusement pour nous les températures de batterie des drones sont trop faibles pour les faire décoller, ces dernières devant être à la température de 25°C pour être fonctionnelles, une belle déception tant cela aurait donné de sacrées vues…

La glaise est sacrément collante comme tu peux l’observer, je reste malgré tout étonné des Yokohama qui encore une fois me sortent sans soucis de là, malgré leur usure, et leur orientation AllTerrain…

Bon ben il n’y a plus qu’à remonter pour repartir, cette petite parenthèse nous aura bien amusés… Et c’est l’occasion de faire quelques petits croisement sde pont à la remontée avec les biellettes JKS déconnectées…

 
 

On part maintenant en direction Biarritz et plus précisément chez Deus un shop qu’on affectionne particulièrement… Quelques petites heures d’Autoroute pour arriver sur place et profiter du Shop…

Le temps lui s’éclaircit finalement, nous permettant d’apprécier un peu plus l’Océan Atlantique et se faire une petite terrasse dans le centre… les heures passent et on cherche un spot pour la nuit avant de remonter en Belgique…

Ce n’est pas une chose facile dans la région qui est surpeuplée l’été, surtout avec les abus de certains campeurs… On décide de remonter au Nord pour trouver un endroit intimiste face Lac, pour profiter de notre dernière soirée, sous la tonnelle encore une fois…

Au petit matin, on entend pas mal de bécanes, poignées grandes ouvertes, après le petit déjeuner on décide d’aller voir ce qui se déroule… Et là on découvre une dune utilisée par pas mal de moto-cross, un cours est donné et un endroit est laissé pour compte sur le circuit, l’occasion de tenter de monter dans la sablière, des traces sont déjà présentes, on se décide à y monter, malgré le poids des bestiaux et une pression de pneus totalement inadaptée…

Vue la route d’hier on est remonté à la pression route de 2bar avec biellettes reconnectés…

Une petite victoire pour la Jeep qui encore une fois arrivera à monter sur le replat au dessus, tandis que le Pajero restera bloqué à la moitié, l’occasion de sortir la sangle kinetic pour le sortir sans mal… Il manque quelques chevaux, on va commencer à jeter un oeil à la pompe à injection et au Turbo pour lui faire prendre une peu plus de pêche et gagner en confort d’utilisation pour Augustin…

 
 

C’est ici que cette semaine s’achève, on est plein de souvenirs, les yeux qui pétillent, avec qu’une seule envie celle de repartir sur les pistes, encore plus loin, mieux équipé encore, et de développer encore une peu plus nos set up, ce trip nous aura permis de mettre le doigt sur quelques améliorations pour pousser un peu plus le confort et optimiser les aménagements choses qui seront revues au cours de l’année, mais également de pousser encore plus sur la vidéo et la photo pour les prochains épisodes…

En pleine recherche d’atelier pour avoir notre camp de base, nous sommes déjà en pleine préparation du Maroc pour le Printemps 2022 avec plein d’idées en tête, l’occasion d’agrémenter la partie Atelier…

J’espère que cet article vous a plu, pensez toujours à respecter votre environnement, vos lieux de bivouac, et ramasser les crasses que les autres auraient éventuellement laissés et faites de nouvelles rencontres, ouvrez vous à ce qui vous entoure, c’est le meilleur conseil que je puisse vous donner… Je vous souhaite de merveilleux voyages, et de concrétiser vos rêves… Il ne me reste qu’à vous laisser à la galerie photo…

Je voulais remercier Clément Signoles pour ces clichés de qualité… Vous pouvez le retrouver sur son site : https://www.signolesclement.com, mais également sur Instagram : https://www.instagram.com/clementsignoles/. Photographe et certifié télépilote drone basé sur Perpignan, c’est un amoureux de l’exploration et des grands espaces saveur terre et mer, n’hésitez pas à le contacter pour vos projets, c’est un passionné d’Outdoor et d’Automobile, et surtout quelqu’un de motivé, avec pas mal de shoot à son actif, entre autres : Mammut, Audi, Fisherman’s Friend, Olympus, DS Automobile, Lafuma, We Van, Vaude Sport, Florette, Pic du Midi, Holzkern, Eden Campervans… !

Également merci à Augustin et à Agathe d’être venus sur ce petit périple, qui en annonce pas mal d’autres je l’espère !

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de la Vallée de l’Agly aux portes du Massif des Corbières